Eymouthiers

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Eymouthiers
Eymouthiers
Zone de loisirs du Chambon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Jean-Pierre Chamoulaud
2020-2026
Code postal 16220
Code commune 16135
Démographie
Gentilé Moustériens
Population
municipale
317 hab. (2021 en augmentation de 8,56 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 38″ nord, 0° 32′ 37″ est
Altitude Min. 118 m
Max. 254 m
Superficie 8,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Eymouthiers
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Eymouthiers
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Eymouthiers
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Eymouthiers

Eymouthiers (Aimostier en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants s'appellent les Moustériens et les Moustériennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Eymouthiers est à la bordure orientale du département de la Charente et jouxte le Périgord vert, partie granitique du département de la Dordogne.

La principale voie de communication de la commune est la RD 6, qui va de la limite du département de la Dordogne à Mansle en passant par Montbron et La Rochefoucauld.

Le village d'Eymouthiers, qui a donné son nom à la commune, est un petit hameau situé au pied d'une haute colline, et ne possède ni église, ni mairie.

Le village de la Tricherie, situé sur la route de Montbron à Piégut-Pluviers (RD 6), à 5 km à l'est de Montbron et 35 km d'Angoulême, est le véritable cœur de la commune, possédant la mairie et l'église.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Le hameau du Chambon s'élève également dans un beau site, dans une boucle de la Tardoire, et près du confluent de cette rivière et de la fontaine d'Eymoutiers.

Les autres hameaux de la commune sont :

  • Chez Manot
  • Puyservaud, dans l'est de la commune, sur la limite du Périgord
  • Marsac
  • Maudeuil, etc[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Eymouthiers
Écuras
Montbron Eymouthiers Bussière-Badil
(Dordogne)
Varaignes
(Dordogne)
Soudat
(Dordogne)

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Vue de la route d'Écuras.

La commune d'Eymouthiers appartient dans sa partie nord à la zone granitique du département, la Charente limousine, dont c'est la commune la plus au sud. Elle est limitée au nord par la Tardoire, qui la sépare de la commune d'Écuras, et dont la vallée est très belle. En venant de l'ouest, en limite du Bassin aquitain, ce sont les premières terres du Massif central, et le territoire communal est très accidenté.

La partie nord, le long de la vallée de la Tardoire, est composée de granite et gneiss. Plus au sud vers Marsac, on trouve sur une petite zone les premiers calcaires du Jurassique inférieur (Hettangien à Sinémurien). Mais la plus grande partie de la commune au sud de la vallée de la Tardoire est composée de colluvions, avec localement sur la hauteur (route de Piégut) des dépôts de l'Éocène au Pliocène composés d'argiles, sable et gravier[3],[4],[5].

La commune occupe le versant méridional de la vallée de la Tardoire qui coule au fond d'une gorge assez marquée. De hautes collines occupent le sud et l'est de la commune. Le point culminant du territoire communal est à une altitude de 254 m, situé sur la limite orientale. Le point le plus bas est à 118 m, situé au bord de la Tardoire en limite nord. La Tricherie, le bourg où est située la mairie, est à 245 m d'altitude. De sa position élevée, on peut voir les campagnes périgourdine et angoumoisine[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Eymouthiers.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Tardoire et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Tardoire, sous-affluent de la Charente, borde le nord de la commune. D'une longueur totale de 114,1 km, elle prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de Pageas, et se jette dans la Bonnieure à Saint-Ciers-sur-Bonnieure, après avoir traversé 28 communes[8].

Les fontaines Saint-Pierre à Eymouthiers, et de Marsac, fournissent de petits affluents. Ces cours d'eau arrosent de belles prairies naturelles, favorisant l'élevage.

Le Chambon situé au bord de la Tardoire possède deux étangs aménagés pour le tourisme et la pêche[2].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département dû au relief, quoique ayant les nuances méridionales du Périgord tout proche.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Eymouthiers est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,3 %), prairies (25,6 %), zones agricoles hétérogènes (19,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Eymouthiers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Tardoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999[19],[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Eymouthiers.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 189 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 187 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Eymouthiers est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Monasteriis, Mostiers au XIIIe siècle[24],[Note 2], Monasterio Ferrario, Antimonasterio (non datés)[25].

Ante monasterium signifie devant le monastère[Note 3]. Le nom d'Eymoutier-Ferrier viendrait aussi des mines et d'une forge qui existaient autrefois[26]. D'après Dauzat, il n'est pas sûr que le nom d'Eymouthiers ait la même origine gauloise que celui d'Eymoutiers en Haute-Vienne[27].

Langues[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[28]. Elle se nomme Aimostier en occitan[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des débris gallo-romains appelés localement ville de Conan auraient été trouvés au XIXe siècle[30]. Toutefois, Christian Vernou ne fait mention dans son ouvrage que de sarcophages monolithes[31].

Au Moyen Âge, la paroisse était unie au chapitre Saint-Martial de Limoges.

En 1689, Armand du Lau, écuyer, sieur de Saint-Julien, détenait le fief noble du Chambon, et figurait sur les bans de la noblesse du Périgord[32].

Au village de chez Manot, on pouvait apercevoir autrefois une chapelle, destinée aux lépreux et dédiée à Saint Roch. Cette chapelle avait été en partie rebâtie au XVIe siècle, puis refaite en 1862, aux frais et en la mémoire de Nicolas Guimbelot, ancien maire de la commune et chevalier de la Légion d'honneur, dont le tombeau se trouvait au cœur de l'édifice[33].

Une frairie importante de la région se tenait à Eymouthiers tous les ans, le 16 août, jour de Saint Roch. Un musicien local, Léonard Voisin, composa au début du XXe siècle une ballade en son honneur, intitulée Notro Balêdo[34].

Administration[modifier | modifier le code]

Mairie d'Eymouthiers
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
depuis 2001 En cours Jean-Pierre Chamoulaud SE Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 317 habitants[Note 4], en augmentation de 8,56 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
606658676647648663631639612
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
593590546530573531509504464
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
488452405393342344304271298
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
237242235279296312304302292
2019 2021 - - - - - - -
314317-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,7 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 155 hommes pour 153 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
11,4 
75-89 ans
9,6 
24,1 
60-74 ans
22,4 
25,9 
45-59 ans
30,8 
12,7 
30-44 ans
16,7 
10,8 
15-29 ans
10,3 
15,2 
0-14 ans
10,3 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

  • Bovins, ovins, porcins.
  • Un peu de vigne.
  • Distillerie.
  • Tourisme.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

La salle des fêtes
  • Fête communale le 15 août.
  • Pêche.
  • Camping.
  • Gîtes ruraux.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église et la place de la mairie
  • L'église et la mairie de la commune, situées à la Tricherie, sont de la fin du XIXe siècle. La cloche de l'église, datant de 1541, est gravée en lettres gothiques « Ihs ma petre ora pro nobis 1581 Te deum landamus. Te Deum Landamus ». Elle est inscrite monument historique au titre objet depuis 2004[41].
  • Le site du Chambon, situé sur la route d'Écuras sur la Tardoire, est une zone de loisirs connue au niveau départemental. On y pratique en particulier l'escalade, le canoë-kayak, et héberge des colonies de vacances de l'agglomération d'Angoulême en particulier.

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La forme ancienne Monasteriis est la même que celle de Mouthiers-sur-Boëme, au sud d'Angoulême.
  3. Saint Pierre, qui est le saint de la commune, est aussi le premier des apôtres; voir aussi Édon.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Eymouthiers » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montbron », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Eymouthiers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « la Tardoire »
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Eymouthiers », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Eymouthiers », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 142,166,186
  25. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 70
  26. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 279.
  28. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  29. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  30. Adolphe Laurent Joanne, Géographie de la Charente, Hachette, , 68 p. (lire en ligne), p. 55
  31. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 209
  32. Aymard de Saint-Saud, Rôle des bans et arrière-bans de la noblesse du Périgord de 1689 à 1692, Féret et Fils, 1930, p. 100
  33. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 177
  34. [PDF] Études Locales, 20e année, n. 194, octobre 1939, pp. 188-192
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Eymouthiers (16135) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  41. « Cloche de l'église », notice no PM16000555, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  42. Stéphane Calvet, Dictionnaire biographique des officiers charentais de la Grande Armée, Les Indes savantes, 2010, p. 147-148

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Catillus Carol, « Eymouthiers », (consulté le )